mercredi 28 novembre 2018
samedi 17 novembre 2018
Jours de violence envers les femmes et les filles
Au Québec, où l'immense drame de l'école Polytechnique femmophobe s'est produit, on dénonce (pas trop fort, ça dérange) pendant soi-disant 12 jours la violence à l'égard des femmes alors qu'ailleurs dans le monde on s'active avec 16 jours d'activisme contre les violences faites aux femmes et aux filles.
En France où l'écart salarial est de 25 %, les femmes s'activent dans des campagnes lors desquelles elles retirent le quart des produits qu'elles vendent pour marquer cette injustice sociale.
Au Québec où l'écart salarial est plus autour DU TIERS, personne ne fait grand chose, les masculinistes règnent ferme alors INTERDICTION D'EN PARLER TROP FORT OU TROP SOUVENT OU TROP LONGTEMPS.
Quoi qu'il en soit, rappelons-nous l'horrible 6 décembre 1989.
https://www.servicesmontreal.com/jacqueline/ae010301k.html
https://www.facebook.com/SimoneMedia/videos/289271988394175/
http://www.un.org/fr/events/endviolenceday/
En France où l'écart salarial est de 25 %, les femmes s'activent dans des campagnes lors desquelles elles retirent le quart des produits qu'elles vendent pour marquer cette injustice sociale.
Au Québec où l'écart salarial est plus autour DU TIERS, personne ne fait grand chose, les masculinistes règnent ferme alors INTERDICTION D'EN PARLER TROP FORT OU TROP SOUVENT OU TROP LONGTEMPS.
Quoi qu'il en soit, rappelons-nous l'horrible 6 décembre 1989.
https://www.servicesmontreal.com/jacqueline/ae010301k.html
https://www.facebook.com/SimoneMedia/videos/289271988394175/
http://www.un.org/fr/events/endviolenceday/
mercredi 14 novembre 2018
La maison aux 67 langues
Une production Pas de panique en codiffusion avec La Manufacture
Présentée à La Licorne du 5 au 23 mars 2019
Assistance à la mise en scène Andrée-Anne Garneau . Décor Jonas Bouchard Costumes Linda Brunelle . Éclairages Julie Basse . Musique Jeannot Bournival
À Jérusalem, Abu Dalo, intellectuel palestinien, et Shimon, militaire israélien, se disputent la propriété d’une maison qui, jouissant du don de la parole, s’est promise aux deux hommes dans des circonstances différentes. Réunis par un étrange hasard et soucieux de préserver leur propre histoire, ils tisseront un lien à la fois tendu et mystique. Puis viendra la rencontre improbable de leurs enfants respectifs : Suha, adolescente cinglante et rebelle, et Alex, jeune homme idéaliste persuadé de pouvoir régler le conflit au Moyen-Orient par l’entremise de la Révolution du cunnilingus.
Présentée en lecture publique à La Licorne lors de l’édition 2015 de La Dizaine des auteurs, La maison aux 67 langues ( House of Many Tongues ), de l’auteur canadien Jonathan Garfinkel, a été en nomination pour le prix du Gouverneur général en 2011.
Présentée à La Licorne du 5 au 23 mars 2019
Assistance à la mise en scène Andrée-Anne Garneau . Décor Jonas Bouchard Costumes Linda Brunelle . Éclairages Julie Basse . Musique Jeannot Bournival
À Jérusalem, Abu Dalo, intellectuel palestinien, et Shimon, militaire israélien, se disputent la propriété d’une maison qui, jouissant du don de la parole, s’est promise aux deux hommes dans des circonstances différentes. Réunis par un étrange hasard et soucieux de préserver leur propre histoire, ils tisseront un lien à la fois tendu et mystique. Puis viendra la rencontre improbable de leurs enfants respectifs : Suha, adolescente cinglante et rebelle, et Alex, jeune homme idéaliste persuadé de pouvoir régler le conflit au Moyen-Orient par l’entremise de la Révolution du cunnilingus.
Présentée en lecture publique à La Licorne lors de l’édition 2015 de La Dizaine des auteurs, La maison aux 67 langues ( House of Many Tongues ), de l’auteur canadien Jonathan Garfinkel, a été en nomination pour le prix du Gouverneur général en 2011.
mardi 6 novembre 2018
Impetus
Les Films de Jennie et
La Distributrice de films sont fiers de présenter IMPETUS, un film hybride écrit,
réalisé et produit par Jennifer Alleyn.
Il sera présenté en première mondiale, en compétition nationale longs métrages,
à la 21e édition des Rencontres
internationales du documentaire de Montréal (RIDM), qui aura lieu du 8 au
18 novembre.
IMPETUS
Scénario : JENNIFER ALLEYN | Réalisation : JENNIFER ALLEYN | Montage : EMMA BERTIN | Image : JENNIFER ALLEYN, ÉTIENNE BOILARD | Son : MARIE-CLAUDE GAGNÉ, LOUIS GIGNAC, BRUNO PUCELLA, LAURENT BÉDARD, MARTYNE MORIN | Musique : EDOUARD FERLET | Producteurs délégués : DANIEL PLANTE, DAVID CLERMONT-BÉIQUE | Productrice : JENNIFER ALLEYN | Production : LES FILMS DE JENNIE | Distribution (Canada) : LA DISTRIBUTRICE DE FILMS
Entre fiction
et documentaire, New York et Montréal, IMPETUS est une réflexion sur la création et la remise en
mouvement. Mariant l’essai poétique et l’autofiction, c’est aussi un film sur
un film en train de se construire sous nos yeux. La cinéaste entraîne dans sa
quête ses deux alter-égos, Emmanuel
Schwartz et Pascale Bussières, dans
une ode aux possibilités qu’offrent les interstices entre réel et imaginaire.
BANDE-ANNONCE : vimeo.com/292149035
IMPETUS sera projeté en grande
première aux RIDM le vendredi 9 novembre
à 19h au Cinéma du Musée (1380, Rue Sherbrooke O), en présence de la
cinéaste Jennifer Alleyn et des
protagonistes au cœur du film : Emmanuel Schwartz, Pascale Bussières, John
Reissner et Esfir Dyachkov.
Une deuxième projection aura lieu le mardi 13 novembre à 18h à la Cinémathèque
québécoise – Salle Canal D (335 Boul. Maisonneuve E), en présence de Jennifer Alleyn.
Distribué
par La Distributrice de films, IMPETUS prendra l’affiche au Québec
à l’hiver 2019.
À
propos de la cinéaste Jennifer Alleyn
Née en Suisse, Jennifer Alleyn est une artiste
et cinéaste primée, établie à Montréal. Pour son baptême cinématographique, elle participe en 1991 à
l’émission La Course
destination monde (Radio-Canada)
et tourne 26 courts métrages en solo, sur 5 continents, d’où se dégagent
humanisme et sensibilité artistique, qualités que l’on retrouve ensuite dans
ses fictions : Cosmos, primé à Cannes en 1997 et Svanok, meilleur court métrage aux Rendez-vous du cinéma
québécois en 2006. L’atelier de mon père, son premier long métrage, a remporté en 2008,
le prix de la Meilleure œuvre canadienne au 26e Festival
International du Film sur l’Art de Montréal (FIFA), ainsi qu’un Prix Gémeaux et
fut nommé aux Jutra pour le Meilleur documentaire. En 2011, elle scrute le
regard acide du peintre allemand Otto Dix, avec Dix
fois Dix qui remporte le prix
Tremplin pour le monde ARTV, au FIFA. Elle collabore avec Nancy Huston à une
installation présentée au Musée des Beaux-Arts de Montréal. Elle expose son
travail plastique récent en 2016 à la Galerie C de Neuchâtel (Suisse). En 2018,
elle lance IMPETUS, un premier long métrage hybride mettant en vedette
Emmanuel Schwartz et Pascale Bussières, qui invite la fiction à dialoguer avec
le cinéma-vérité.
IMPETUS
Québec. 2018. 94 minutes. Version
originale française et anglaise, avec sous-titres anglais et français
Avec Pascale
Bussières, Emmanuel Schwartz, John Reissner, Esfir Dyachkov, Jennifer Alleyn,
Besik Kasarian et Béatrice Mc Aviney.
Scénario : JENNIFER ALLEYN | Réalisation : JENNIFER ALLEYN | Montage : EMMA BERTIN | Image : JENNIFER ALLEYN, ÉTIENNE BOILARD | Son : MARIE-CLAUDE GAGNÉ, LOUIS GIGNAC, BRUNO PUCELLA, LAURENT BÉDARD, MARTYNE MORIN | Musique : EDOUARD FERLET | Producteurs délégués : DANIEL PLANTE, DAVID CLERMONT-BÉIQUE | Productrice : JENNIFER ALLEYN | Production : LES FILMS DE JENNIE | Distribution (Canada) : LA DISTRIBUTRICE DE FILMS
Facebook : facebook.com/Impetus.film
Site - Jennifer Alleyn : jenniferalleyn.com
Site -
La Distributrice de films : ladistributrice.ca/catalogue- films/impetus
PROJECTIONS AUX RIDM
Vendredi 9 novembre à 19h au Cinéma du Musée –
en présence de l’équipe du film
Mardi 13 novembre à 18h à la Cinémathèque
québécoise (Salle Canal D) – en présence de la cinéaste
Information et billetterie : ridm.ca/fr/films/impetus
Les Films
de Jennie est une
maison de production montréalaise fondée en 2004 par la cinéaste Jennifer
Alleyn. La compagnie a pour mission de produire un cinéma d’auteur de qualité.
Les Films de Jennie compte actuellement parmi sa filmographie des courts
métrages et des documentaires qui ont été sélectionnés et primés dans de
nombreux festivals en Europe (France, Belgique, Irlande) et en Amérique du Nord
(Canada, Etats-Unis). Par ailleurs, la compagnie produit également des bandes
vidéo d’art.
50 ans après 1968
CINQUANTE ANS APRÈS 1968 :
TROIS ATELIERS PRATIQUES AUX RIDM
Cinquante ans après 1968,
les RIDM, grâce au soutien du Conseil des arts du Canada, présentent trois
ateliers qui explorent les enjeux fondamentaux de la pratique documentaire en
situation de conflit social. Ces ateliers gratuits seront l’occasion pour les
professionnel.le.s, les étudiant.e.s et le grand public de profiter de
l’expertise d’invité.e.s exceptionnel.le.s.
Jonathan Saruk offrira un tour d’horizon sur les questions à se poser et des possibilités à envisager dans ces contextes, lorsque l’on se prépare à un travail à haut risque, tout en illustrant sa présentation d’exemples concrets tirés de son expérience.
Intervenant.e.s
Remy Khouzam, avocat spécialisé dans le domaine de la production audiovisuelle et numérique
La manière de capter les images des autres a beaucoup changé depuis l’époque du cinéma direct. Aujourd’hui, les pratiques documentaires s’inscrivent dans un contexte bien différent, où le développement des technologies et l’explosion des médias sociaux ont permis à tou.te.s de prendre des images et de les diffuser largement. Nous sommes plus que jamais attentif.ve.s à notre image et à celles des autres, à leur dimension sacrée dans l’espace public. Il a donc été important de poser des balises juridiques à l’utilisation et l’exploitation des images.
De manière interactive avec les participant.e.s, la cinéaste s’interrogera sur l’esthétique des événements historiques et contemporains. Pour Narimane Mari, les émotions, les fantasmes et les rêves sont des éléments aussi majeurs dans l’appréhension de l’Histoire que les enjeux politiques, idéologiques et factuels, car ce sont eux qui font l’image cinématographique. Elle expliquera son travail de composition avec différentes sources, sa manière de les interroger chez chaque protagoniste, et de les situer dans leur environnement. Quelle liberté peut-on prendre à ouvrir et mêler ces sources? Quelle responsabilité a-t-on dans ce qui se crée et se dit? Comment l’imaginaire peut-il exploser le réel tout en restant fidèle au sujet? Est-il parfois approprié d’occulter l’esthétique?
ATELIER #1 - Documenter : Un travail à haut risque
Dimanche 11 novembre - de 10h00 @ 11h30
Intervenant: Jonathan Saruk, producteur/directeur photo (Suède)
La pratique documentaire peut impliquer des tournages dans des
environnements imprévisibles et dangereux. Tourner dans ces zones de conflits
ou des contextes propices à l’escalade de la violence exige que les cinéastes
et leurs équipes soient bien préparé.e.s, et aient en main le maximum d’outils
et de connaissances. Le producteur, directeur photo et photojournaliste suédois
Jonathan Saruk a couvert la guerre en Afghanistan de 2008 à 2012, les printemps
arabes du Yémen et de Bahreïn en 2011, plusieurs insurrections à Gaza et en
Cisjordanie, la rébellion dans l’est de la RDC, ainsi que des événements
post-conflit en Sierra Leone, en Ukraine et en Colombie. Il propose dans cet
atelier de partager son expérience personnelle et d’outiller au mieux les
participant.e.s qui considèrent tourner dans des zones à risque.
Jonathan Saruk offrira un tour d’horizon sur les questions à se poser et des possibilités à envisager dans ces contextes, lorsque l’on se prépare à un travail à haut risque, tout en illustrant sa présentation d’exemples concrets tirés de son expérience.
ATELIER #2 - La loi des images
Lundi 12 novembre - de 14h00 @ 15h30
Intervenant.e.s
Remy Khouzam, avocat spécialisé dans le domaine de la production audiovisuelle et numérique
Mélissa Beaudet, réalisatrice (Police Académie - RIDM 2015, 180 JOURS)
La manière de capter les images des autres a beaucoup changé depuis l’époque du cinéma direct. Aujourd’hui, les pratiques documentaires s’inscrivent dans un contexte bien différent, où le développement des technologies et l’explosion des médias sociaux ont permis à tou.te.s de prendre des images et de les diffuser largement. Nous sommes plus que jamais attentif.ve.s à notre image et à celles des autres, à leur dimension sacrée dans l’espace public. Il a donc été important de poser des balises juridiques à l’utilisation et l’exploitation des images.
L’avocat Remy Khouzam nous propose de mieux comprendre le droit à l’image
grâce à un tour d’horizon des dispositions législatives et un survol jurisprudentiel.
La cinéaste Mélissa Beaudet partagera
son expérience de réalisation dans des situations délicates, telles que les
tournages avec des mineur.e.s et des personnes vulnérables. En illustrant
l’atelier d’exemples concrets de tournage et de montage, ils discuteront du bon
équilibre à garder entre respect du sujet et intérêt public, vie privée et
liberté d’expression.
ATELIER #3 - Esthétique et analyse de la révolution
Mardi 13 novembre - de 14h00 @ 15h30
Intervenante : Narimane Mari, cinéaste (Loubia
Hamra - RIDM 2013, Le fort des fous - RIDM 2017)
Moment décisif pour le cinéma documentaire, le mois de mai 1968
est souvent discuté dans une perspective purement eurocentrique. Et pourtant,
il a créé une constellation de cinémas couvrant l’ensemble du globe, de
l’Amérique du Sud à l’Afrique, en passant par l’Asie et le Moyen-Orient. Les
insurrections anticoloniales font partie de cette énergie créatrice, et il est
important de se rappeler que le cinéma documentaire né de 68 est aussi un
cinéma de la décolonisation. La cinéaste franco-algérienne Narimane Mari
s’inscrit certainement dans cet héritage.
De manière interactive avec les participant.e.s, la cinéaste s’interrogera sur l’esthétique des événements historiques et contemporains. Pour Narimane Mari, les émotions, les fantasmes et les rêves sont des éléments aussi majeurs dans l’appréhension de l’Histoire que les enjeux politiques, idéologiques et factuels, car ce sont eux qui font l’image cinématographique. Elle expliquera son travail de composition avec différentes sources, sa manière de les interroger chez chaque protagoniste, et de les situer dans leur environnement. Quelle liberté peut-on prendre à ouvrir et mêler ces sources? Quelle responsabilité a-t-on dans ce qui se crée et se dit? Comment l’imaginaire peut-il exploser le réel tout en restant fidèle au sujet? Est-il parfois approprié d’occulter l’esthétique?
Ces trois
ateliers sont gratuits et ouverts à tou.te.s.
Seul festival au Québec
entièrement dédié au documentaire, les Rencontres internationales du
documentaire de Montréal (RIDM) offrent au public le meilleur du cinéma du réel
en rassemblant les grands auteurs et les nouveaux talents à découvrir.
La 21e
édition des RIDM se déroulera du 8 au 18 novembre 2018.
Rêveuses de villes
Maison 4:3 et Couzin Films sont fiers d’annoncer que Rêveuses de villes, long
métrage documentaire réalisé par Joseph
Hillel, sera présenté en première mondiale à la 21e édition des Rencontres internationales du documentaire
de Montréal (RIDM), qui aura lieu du 8 au 18 novembre.
Rêveuses de villes
Scénario : JOSEPH HILLEL, BRUNO BAILLARGEON | Réalisation : JOSEPH HILLEL | Montage : HEIDI HAINES | Image : LÉNA MILL-REUILLARD, STÉPHANIE WEBER BIRON, ÉTIENNE BOILARD | Prise de son : MARTYNE MORIN | Conception sonore : STÉPHANE CARREAU | Mix : ALEXANDRE WANG-LEGENTIL | Musique originale : JEAN-OLIVIER BÉGIN | Animations graphiques : GUY LESSARD | Productrice déléguée : LYNNE SPENCER | Producteur : ZIAD TOUMA | Production : COUZIN FILMS | Distribution (Canada) : MAISON 4:3
Rêveuses de villes est à
la fois un documentaire sur nos villes qui ne cessent de grandir et un film sur
quatre architectes exceptionnelles : Phyllis Lambert, Denise Scott Brown, Cornelia Hahn
Oberlander et Blanche Lemco van Ginkel. Quatre pionnières engagées et
inspirantes qui n’ont cessé́ de travailler, d’observer et de réfléchir aux
transformations des villes.
À l’occasion des RIDM, le film sera projeté en
grande première le samedi 10 novembre à
17h au Cinéma du Musée (1380, Rue Sherbrooke O), en présence de Phyllis Lambert, de Brenda van Ginkel, fille de Blanche
Lemco van Ginkel, et du réalisateur Joseph
Hillel.
Une deuxième projection aura lieu le jeudi 15 novembre à 20h30 à la Cinémathèque
québécoise (335 Boul.
Maisonneuve E), suivie d’une discussion intitulée « La ville de
demain » avec Renée Daoust (architecte,
urbaniste
et associée chez Daoust Lestage), Gil Hardy (architecte, cofondatrice de la firme montréalaise NÓS) et Joseph Hillel (cinéaste).
Distribué
par Maison 4:3, Rêveuses de villes prendra l’affiche au Canada en 2019.
Originaire
d’Haïti, le cinéaste Joseph Hillel écrit, réalise et produit des films sur
l’art. Son premier film, Ordinaire ou
super (2004), présente le travail du grand architecte Mies van der Rohe. Karsh Is History (2009) révèle un
portrait du célèbre photographe. Ayiti
Toma, au pays des vivants (2013) est une réflexion sur la riche culture
haïtienne. Auparavant, à la tête de Qu4tre par Quatre Films, Joseph a également
produit des courts et longs métrages, fictions et documentaires.
Rêveuses de villes
Québec. 2018. 80 minutes. Version
originale française et anglaise, avec sous-titres anglais et français
Avec la participation de Phyllis
Lambert, Denise Scott Brown, Cornelia Hahn Oberlander et Blanche Lemco van
Ginkel.
Scénario : JOSEPH HILLEL, BRUNO BAILLARGEON | Réalisation : JOSEPH HILLEL | Montage : HEIDI HAINES | Image : LÉNA MILL-REUILLARD, STÉPHANIE WEBER BIRON, ÉTIENNE BOILARD | Prise de son : MARTYNE MORIN | Conception sonore : STÉPHANE CARREAU | Mix : ALEXANDRE WANG-LEGENTIL | Musique originale : JEAN-OLIVIER BÉGIN | Animations graphiques : GUY LESSARD | Productrice déléguée : LYNNE SPENCER | Producteur : ZIAD TOUMA | Production : COUZIN FILMS | Distribution (Canada) : MAISON 4:3
samedi 3 novembre 2018
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