Cordonnier et chanteur engagé, Dakka Dembélé présente la sortie numérique de son premier single maintenant avec la sortie d'un premier album en mars sous étiquette Disques Nuits d'Afrique.
La chanson Baba traite des politiciens qui s’accrochent au pouvoir, au détriment des règles de la démocratie et de leurs électeurs. Dakka rappelle aux dirigeants que le pouvoir n’est pas éternel et qu’ils doivent le passer à la nouvelle génération lorsque leur mandat est terminé.
La musique de Dakka s’inspire de son vécu africain et québécois. Elle relate la grandeur et la décadence du monde moderne. À l’image de ses modèles Alpha Blondy, Tiken Jah Fakoly, Lucky Dube et Koko Dembélé, Dakka dénonce avec véhémence les injustices sociales, la pauvreté et la corruption. Ses compositions sont imprégnées de mélodies rythmées et engagées qui transportent dans un univers à la fois enjoué et troublant. Voici un voyage musical qui ne laisse personne indifférent!
Au sujet de l’artiste…
Né en Côte d’Ivoire de parents maliens, Dakka Dembélé débute sa carrière avec son ami Gounga. Très vite, ils sont fascinés par la musique reggae à laquelle ils intègrent des sonorités mandingues émanant de leurs racines culturelles. Le duo DakkaGounga s’est produit sur de nombreuses scènes ivoiriennes et maliennes dans les années 90 et 2000.
Dakka arrive à Montréal en 2007 et fait d’abord revivre son premier métier en ouvrant sa propre cordonnerie (cordonnerie Dakissa). À partir de 2013, il revient sur scène et collabore avec de nombreux musiciens locaux, dont Abdoulaye Koné, les Rootsteppers, David Mobio, Namori, Ons Barnat et Solid Ground. La richesse et la diversité de la scène montréalaise l’inspirent et il continue de développer son style musical. En 2015, il remporte une Mention Spéciale du jury des Syli d’Or.
En 2018, il fait la rencontre d’Apotcho Strong et de Guy Kaye, avec qui il travaille actuellement sur l’enregistrement de son premier album, Petit bateau.
La chanson Baba traite des politiciens qui s’accrochent au pouvoir, au détriment des règles de la démocratie et de leurs électeurs. Dakka rappelle aux dirigeants que le pouvoir n’est pas éternel et qu’ils doivent le passer à la nouvelle génération lorsque leur mandat est terminé.
La musique de Dakka s’inspire de son vécu africain et québécois. Elle relate la grandeur et la décadence du monde moderne. À l’image de ses modèles Alpha Blondy, Tiken Jah Fakoly, Lucky Dube et Koko Dembélé, Dakka dénonce avec véhémence les injustices sociales, la pauvreté et la corruption. Ses compositions sont imprégnées de mélodies rythmées et engagées qui transportent dans un univers à la fois enjoué et troublant. Voici un voyage musical qui ne laisse personne indifférent!
Au sujet de l’artiste…
Né en Côte d’Ivoire de parents maliens, Dakka Dembélé débute sa carrière avec son ami Gounga. Très vite, ils sont fascinés par la musique reggae à laquelle ils intègrent des sonorités mandingues émanant de leurs racines culturelles. Le duo DakkaGounga s’est produit sur de nombreuses scènes ivoiriennes et maliennes dans les années 90 et 2000.
Dakka arrive à Montréal en 2007 et fait d’abord revivre son premier métier en ouvrant sa propre cordonnerie (cordonnerie Dakissa). À partir de 2013, il revient sur scène et collabore avec de nombreux musiciens locaux, dont Abdoulaye Koné, les Rootsteppers, David Mobio, Namori, Ons Barnat et Solid Ground. La richesse et la diversité de la scène montréalaise l’inspirent et il continue de développer son style musical. En 2015, il remporte une Mention Spéciale du jury des Syli d’Or.
En 2018, il fait la rencontre d’Apotcho Strong et de Guy Kaye, avec qui il travaille actuellement sur l’enregistrement de son premier album, Petit bateau.
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