dimanche 15 septembre 2013

OMNIBUS : Ce corps qui parle

Du 8 au 26 octobre 2013, à Espace Libre
Du mardi au samedi à 20h | Les 11 et 17 octobre à 19 h


JEUDI-DISCUSSION | 17 octobre, après la représentation de 19 h
Rencontre avec les interprètes et l’équipe de création animée par Philippe Ducros

DEUX SOLOS SUR CE QUE NOUS DIT LE CORPS DE NOTRE ÉPOQUE
 Interprètes
Yves Marc (Théâtre du Mouvement, France)
Sylvie Chartrand (Omnibus le corps du théâtre)

Metteurs en scène
Yves Marc (Théâtre du Mouvement)
Jean Asselin (Omnibus le corps du théâtre)
 
OMNIBUS le corps du théâtre présente à Espace libre, à Montréal, le spectacle à succès de la compagnie parisienne le Théâtre du MouvementCe corps qui parle, un one-man-show scientifique, poétique et ludique, mettant en scène le Français Yves Marc, donne son titre générique à une soirée théâtrale comprenant deux solos. 

En lever de rideau, Splendeur et misère d’une courtisanedans lequel la Québécoise Sylvie Chartrand se fait escorte, sculptant le corps féminin de l’intérieur 

Que nous dit le corps de notre époque, de nos désirs, de nos pulsions, de nos somatisations ?


CE CORPS QUI PARLE
PRODUCTION, LE THÉÂTRE DU MOUVEMENT, FranceTEXTE, MISE EN SCÈNE et INTERPRÉTATION, YVES MARC

En lever de rideau
SPLENDEUR ET MISÈRE D’UNE COURTISANE (création)
PRODUCTION, OMNIBUS le corps du théâtre

INTERPRÉTATION, SYLVIE CHARTRAND
MAITRISE D’ŒUVRE, JEAN ASSELIN 
CONCEPTION MUSICALE, YVES DAOUST
Dans l’intimité de son silence, une femme officie la cérémonie du corps.

ESPACE LIBRE | 1945, rue Fullum, Montréal (Métro Frontenac)
BILLETTERIE | 514-521-4191 ou achat en ligne | espacelibre.qc.ca
Régulier : 32$  | Moins de 30 ans : 25$
Infos : www.mimeomnibus.qc.ca

One-hand-show : Concerto au Sol

Spectacle sans parole, à partir de
8 ans
15 au 26 octobre 2013
Aux Écuries

Cette création, aux frontières du théâtre et de la musique, propose une immersion dans un univers imaginaire, teinté de mystère et de rencontres, dans le cadre d’une présentation à la fine pointe de la technologie.

Marionnette sonore
Imaginez une main de musicien qui, par une astucieuse technique de prestidigitation, prendrait soudainement vie et deviendrait un personnage. De cette métamorphose soudaine naît la trame du spectacle, dont la protagoniste, la main musicienne, telle une marionnette, nous entraîne avec elle dans un voyage inusité.

Musique à écouter… et à voir !
Le personnage découvre alors les sons, petit à petit, à l’image du héros d’un roman initiatique qui chercherait à apprivoiser les codes de la musique, guidé par des rencontres de créatures étonnantes et détonnantes.

Coté visuel, un subtil équilibre entre le travail tout en finesse du castelier « moderne » et des projections dignes du meilleur cinéma d’animation crée la magie sur scène. Les gestes du marionnettiste donnent ainsi vie à un véritable ballet de mains, évoluant dans un univers géographique tout en mouvement, comme pour mieux s’aventurer vers des territoires inconnus.

Le spectateur, lui, plonge dans une véritable scénographie sonore, qui débute par le bruit des grillons et des oiseaux avant de couvrir les horizons musicaux les plus variés, grâce notamment à une trame électro-acoustique enveloppante.

Le corps musicien sous le feu des projecteurs
La pièce nous plonge dans une réflexion sensorielle et corporelle. Qu’est-ce que la musique? Comment évolue-t-elle? Quel est son rôle dans notre quête personnelle? Elle nous donne également à voir tout ce qui se cache derrière un corps de musicien, élargissant ainsi l’horizon du public par une expérience multisensorielle originale plus puissante que celle du concert.

Concerto au Sol
Conception et interprétation : Félix Boisvert
Mise en scène : Félix Boisvert et Jean-François Boisvert, avec la collaboration de Karina Bleau
Animations vidéo Félix Boisvert et Antonin Monmart // Collaboration vidéo Félix Pharand-Deschênes // Programmation informatique Pierre-Marc Beaudoin // Chimie des maquillages Ranjan Roy // Conseillère à la marionnette Karina Bleau // Assistance à la composition musicale Benoit Côté // Lutherie électronique Jean Landry // Musiciens Luzio Altobelli, Alexis Dumais, Émilie Girard-Charest, Élizabeth Giroux, Sheila Hannigan, Cedric DindLavoie, Fraser Hollins, Josiane Hébert, Rick Haworth, Tobie Cinq-Mars, Lucie Monsarrat-Chanon, Jean-François Blouin et Shawn Mativetsky // Révision Hugo Lavallée

Félix Boisvert s’est formé à la composition au Conservatoire de musique de Montréal (maîtrise en 2005). Il travaille comme artiste multidisciplinaire (théâtre de marionnettes, musique, arts technologiques et danse) pour les spectacles Lune et l’autre (2009), Pas à pas (2006) et Manu danse (2005), entre autres. Sa démarche repose sur un désir d’exprimer la musique sous une forme artistique qui ne se limite pas au domaine des sons. C’est dans le théâtre de marionnettes qu’il trouve depuis quelques années un cadre d’expression fertile à cette exploration.

La SMCQ se consacre depuis près de 50 ans à la valorisation de nos compositeurs. Au fil des ans, elle a su s’imposer sur la scène culturelle par la qualité et l’envergure de ses concerts et activités, qui se démarquent par leurs qualités rassembleuses. Ses activités se déclinent en 4 volets : Concerts SMCQ, Festival international Montréal/Nouvelles Musiques, Série hommage et SMCQ Jeunesse. Elle est considérée
aujourd’hui comme l’une des plus importantes et dynamiques institutions dédiées aux musiques nouvelles en Amérique.

Dans un océan d’images

Dans un océan d’images est une quête sur le sens et la portée de l’image. À l’ère de la «révolution» numérique et de la prolifération qu’elle entraîne, sommes-nous encore en mesure de voir les images, surtout celles des conflits et de leurs lourdes séquelles ?

Trop d’images tuent l’image, dit-on. Dans une pratique en mutation, photographes, artistes, plasticiens proposent des nouvelles stratégies, adoptent des manières différentes pour nous offrir des images qui soient signifiantes. Dans cet océan d’images, Helen Doyle cherche celles qui émergent, forcent le regard et, peut-être, nous aident à mieux comprendre le tumulte du monde. Partant à la rencontre de quelques grands rapporteurs d’images, partageant sa passion pour la photographie, elle nous fait découvrir une vaste palette contemporaine faite de contrastes qui choquent et de mariages inattendus: les images poétiques de Lana Šlezić en Afghanistan, celles presque insoutenables de Philip Blenkinsop en Asie, l’oeuvre monumentale d’Alfredo Jaar, les mises en scène miniatures de guerre de Paolo Ventura, les photographies de Stanley Greene qui se présente comme un storyteller et celles de Geert van Kesteren en Irak qui offre une vision citoyenne. Nous suivons la lutte contre la mafia de Letizia Battaglia en Sicile, le projet porté par Nadia Benchallal dont le point de départ est son Algérie natale, les traces reconstituées par Bertrand Carrière sur les plages de Normandie et la mémoire retrouvée dans les romans graphiques de Sera Phousera Ing au Cambodge.

Le film s’adresse à tous ceux que l’image attire et passionne, au nombre inouï de ceux qui animent des sites et des blogues autour de l’image, et à tous ceux qui, avec leur appareil photo numérique ou leur téléphone, captent des images à profusion avant de les mettre à la disposition de tous.

Dans un océan d’images
 
Québec. 2013. Réalisé par Helen Doyle. HD. Couleur. 90 minutes. En versions française et anglaise.


jeudi 12 septembre 2013

LES VOYAGES FORMENT-ILS L'URBANISTE ?

Le Café des Z’Architectes 01 (saison 03)
à la MAQ lundi 23 septembre 2013

Cafetiers invités :
Les architectes Carole Lévesque, Georgia Cardosi et Mazen Chemseddine, l’urbaniste Jacques Fisette
Modérateur : Laurent Lussier, urbaniste

Pour le Café de cette rentrée, on part en voyage à la suite de l’architecte Carole Lévesque qui expose Détours pour aller là où l’on n’a pas besoin d’être, un récit sensible de ses aventures dans un secteur de Beyrouth laissé en l'état depuis la guerre civile, Bachoura. Ce sera l’occasion d’un débat sur les enseignements et les pièges du voyage d’expert dans ces zones qu’on dit informelles.

Comment comprendre et aborder le quartier informel non-occidental? Que s'y passe-t-il exactement? Comment ça marche? A-t-il besoin de nos expertises, ou bien, au contraire, n'a-t-il pas plutôt de grandes leçons à nous donner sur l’art d’ordonner la vie sociale? Y flâner, s'y perdre, s'y abandonner, pour mieux capturer l'essence de son quotidien, n'est-ce pas le meilleur moyen de parvenir à des solutions sur mesure pour l'aider à se planifier? Ou croire cela est-ce, au contraire, céder au charme d'un pittoresque qui n'est que dans l'œil de l'Occidental?

181, rue St-Antoine Ouest
www.maisondelarchitecture.ca

mardi 10 septembre 2013

2 films sur la maltraitance des femmes

Dans le cadre de l’exposition Trop jeunes pour le mariage :

Entrée gratuite aux films et à l'exposition

475, Quand le mariage devient un châtiment,
un documentaire de Nadir Bouhmouch dénonçant l’article 475 du code pénal marocain qui permet aux violeurs d’éviter les poursuites judiciaires en épousant leurs victimes. (Film projeté le mercredi 11 septembre à 19h30, en présence de la co-productrice Layla Belmahi, membre du collectif Guerrilla Cinema et cofondatrice de Woman Choufouch, un mouvement luttant contre le harcèlement sexuel au Maroc.

La source des femmes
de Radu Mihaileanu, un conte moderne, drôle, joyeux et politique sur le courage des femmes du Maghreb qui décident de faire la grève de l’amour et du sexe. (film projeté le 28 septembre à 14h)


TOUS LES DÉTAILS :
Mercredi 11 septembre 2013, 19h30
475 : Quand le mariage devient un châtiment
Première montréalaise du documentaire réalisé par le jeune Marocain Nadir Bouhmouch.Version originale, sous-titrée en français.
Film projeté en présence de la co-productrice Layla Belmahi, membre du collectif Guerrilla Cinema et cofondatrice de Woman Choufouch, un mouvement luttant contre le harcèlement sexuel au Maroc.

L’article 475 du code pénal marocain permet aux violeurs d’éviter les poursuites judiciaires en épousant leurs victimes. Un an après le suicide d’Amina El Filali, contrainte d’épouser son violeur, le réalisateur dénonce cette loi qui permet l’impunité de l’agresseur.

SYNOPSISAmina Filali, une marocaine âgée de 16 ans, s’est suicidée après avoir été forcée de se marier à son présumé violeur. Sa mort tragique a suscité l’attention des médias marocains et internationaux en mars 2012.

Amina avait accusé un jeune homme de son village de l’avoir violée, mais elle a été obligée de se marier avec lui en raison de l’échec des autorités à enquêter sur son affaire. Cette union a eu lieu avec la bénédiction de l'article 475 du code pénal marocain, qui protège le violeur de la prison si celui-ci épouse sa victime. Un an après son mariage, Amina est morte après avoir avalé de la mort aux rats.

À travers cette tragique histoire, le film traite des aspects juridiques, politiques, religieux et sociaux des injustices accablant les femmes marocaines - réduisant petit à petit la façade de l'égalité qui cache un système patriarcal profond.

Partie non seulement pour dénoncer un phénomène social mais aussi pour enquêter sur l’affaire, l'équipe de tournage de 475 découvre que le viol et le mariage d’Amina n’était qu’un arbre cachant une forêt. En effet, trois cas similaires ont récemment eu lieu dans son petit village près de Larache. Ce film met en exergue la difficulté de prouver la culpabilité tout en soulignant le caractère endémique de la violence sexuelle au Maroc.


DURÉE DU FILM : 63 ‘

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Samedi 28 septembre 2013, 14h
[Dans le cadre des Journées de la culture 2013]La source des femmes du réalisateur Radu Mihaileanu (fiction, 2010)
Avec Leïla Bekhti, Hafsia Herzi, Hiam Abbass, Zinedine Soualem. Sabrina Ouazani, Malek Akhmiss, Saad Tsouli

SYNOPSIS
Cela se passe de nos jours dans un petit village, quelque part entre l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient. Les femmes s’épuisent à aller chercher l'eau à la source, en haut de la montagne, sous un soleil de plomb, et ce depuis la nuit des temps...
Leïla, une jeune mariée, propose aux femmes de faire la grève de l'amour. Plus de sexe tant que les hommes n’apportent pas l’eau au village. Pourquoi ne décideraient-elles pas de leur avenir ?

DURÉE DU FILM : 136’

Le réalisateur du “Concert” rend hommage à la beauté et au courage des femmes du Maghreb dans ce conte moderne, drôle, joyeux et politique, qui a valu à Leïla Bekhti une nomination pour le César de la Meilleure actrice 2012. Le film a été présenté en compétition officielle lors du 64e Festival de Cannes 2011.

Le film été tourné entièrement en décors naturels dans un petit village du Maroc. Le point de départ de "La source des femmes" est un fait divers paru dans le quotidien français Libération. Il retraçait l'histoire d'un groupe de femmes dans un petit village de Turquie en 2001, qui avaient décidé d'entamer une grève de l'amour. Meurtries quotidiennement lors de leurs déplacements pour chercher l'eau au sommet d'une montagne voisine, elles revendiquaient l'installation d'un puits dans leur village. La seconde inspiration fut le livre d'Aristophane, "Lysistrata", dans lequel une femme déclenche la grève de l'amour pour mettre fin à la guerre.

Radu Mihaleanu est né à Bucarest. Il quitta la Roumanie sous Ceauşescu pour faire des études de cinéma en France. Il a réalisé cinq films (dont Vas, Vis et deviens en 2005 et Le Concert en 2009).


Calendrier CINÉMA

Boréades de Montréal : prochain concert Les Cantiques spirituels de Jean Racine

Le concert aura lieu le jeudi 26 septembre 2013 à 20 h, à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal située au 1339, rue Sherbrooke Ouest.

LES CANTIQUES SPIRITUELS DE JEAN RACINE
(Collasse et Marchand et Charpentier) avec Mario Paquet, lecteur
4 chanteurs et 8 instrumentistes sous la direction d'Eric Milnes
Jean Racine publiait en 1694 quatre Cantiques spirituels, paraphrases versifiées de divers textes de la Bible et de Saint Paul. Ces poèmes, que d’aucuns rangent parmi les plus beaux de la langue française, étaient expressément destinés à être mis en musique. Ils l’ont été d’abord par Jean-Baptiste Moreau et par Michel-Richard Delalande pour être chantés devant Louis XIV et Mme de Maintenon au couvent de Saint-Cyr, puis par Pascal Collasse et par Jean-Noël Marchand, qui ont joint aux voix un important ensemble instrumental. Quel que soit l’état de notre foi, on ne peut qu’être sensible tant à la perfection et à la profonde spiritualité des textes qu’aux qualités expressives de la musique qui les met magnifiquement en valeur. 


Les compositeurs
Pascal Collasse (1649-1709), Jean-Noël Marchand (1666-1710), Marc-Antoine Charpentier (1643-1704)

Les interprètes
Hélène Brunet, soprano, Marie Magistry, sopranoPhilippe Gagné, ténorNormand Richard, basse
Mario Paquet, lecteur
Francis Colpron et Grégoire Jeay, flûtes traversières, Olivier Brault et Jacques-André Houle, violons, Mélisande Corriveau, violoncelle et basse de viole, Marie-Laurence Primeau, dessus et basse de viole, Sylvain Bergeron,théorbe,  Eric Milnes, orgue et clavecin
Eric Milnes, direction

Le programme

Lecture du premier cantique

À la louange de la charité

(tiré de Saint Paul, I Corinth., chap. 13)


Pascal Collasse (1649-1709)
Cantique IerLes méchants m’ont vanté, pour 2 sopranos, ténor*, 2 flûtes traversières, 2 violons et basse continue (Cantiques spirituels tirés de l’Écriture sainte, Paris, 1695)
Lecture du quatrième cantique
Sur les vaines occupations des gens du siècle
(tiré de divers endroits d’Isaïe et de Jérémie)

Pascal Collasse
Cantique IVeQuel charme vainqueur du monde, pour 2 sopranos, ténor*, 2 flûtes traversières, 2 violons et basse continue (idem)


Lecture du troisième cantique

Plainte d’un chrétien sur les contrariétés qu’il éprouve au-dedans de lui-même
(tiré de Saint Paul aux Romains, chap. 7)

Pascal Collasse
Cantique IIIeMon Dieu, quelle guerre cruelle!, pour 2 sopranos, ténor*, 2 flûtes traversières, 2 violons et basse continue (idem)

pause

Marc-Antoine Charpentier
 (1643-1704)

Sonate pour 2 flûtes traversières, 2 violons, basse de viole, basse de violon [violoncelle], clavecin et théorbe, H. 548 (manuscrit, 1685-1690)
Grave

            Récit de la basse de viole - Sarabande
            Récit de la basse de violon - Bourrée
            Gavotte

            Gigue

            Passacaille
            Chaconne

Jean-Noël Marchand (1666-1710)
Cantique IIIeMon Dieu, quelle guerre cruelle!, pour basse, 2 violons et basse continue (manuscrit, s.d.)
      

Lecture du deuxième cantique

Sur le bonheur des justes et sur le malheur des réprouvés
(tiré de la Sagesse, chap. 3)

Jean-Noël Marchand
Cantique IIeHeureux qui, de la sagesse, pour soprano, haute-contre, basse, [2 flûtes traversières,] 2 violons, alto et basse continue (idem)

* la distribution originale prévoit trois voix de femmes.


L’ENSEMBLE LES BORÉADES

Spécialisé dans le répertoire baroque, l’ensemble Les Boréades a été fondé en 1991 par Francis Colpron. Il a choisi comme approche une interprétation fidèle, tant par le respect des règles de la pratique ancienne que par l’emploi d’instruments d’époque. La critique et le public au Canada et à l’étranger ont unanimement salué la verve, la spontanéité ainsi que le jeu théâtral, expressif et élégant de l’ensemble, qualités qui témoignent d’une compréhension intime de l’esprit du Baroque. L’ensemble a déjà à son actif une solide discographie de vingt-trois enregistrements distribués à travers le monde.

Dernier-né discographique (automne 2011) Musiques pour le théâtre de Tabarin, danses et chansons françaises aux instruments (1550-1650). Avec ce nouvel album sous étiquette ATMA Classique, l’ensemble Les Boréades offre un programme varié de musiques « théâtrales » entendues à Paris au début du XVIIe siècle.
Les Boréades reçoivent l’appui du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts du Canada et du Conseil des arts de Montréal.

Source : Francis Colpron