D'une ignorance à l'autre, d'un abuseur à l'autre
Un roman qui se situe au début du siècle passé, au Québec, alors que l'ignorance marquait les comportements dictés par la religion catholique. Une famille vivant de la ferme, enfants nombreux avec la mère qui par un beau matin découvre son fils chevauchant son aînée, l'engrosse, etc., suivi au bout de quelques jours à se remettre de leurs émotions d'une maltraitance verbale typique de la part du curé borné se limitant à donner des leçons de morale à la jeune victime déjà abusée sexuellement et de qui c'était très certainement la faute... Puis, donné en adoption, l'enfant de l'inceste se retrouve à son tour entre les mains de religieux et surtout d'un prédateur homosexuel, tous prêts à tout pour le garder auprès d'eux. Vies difficiles, marquées par la guerre 1914-18 et surtout par le manque d'éducation dans lequel étaient maintenus les Québécois de l'époque.
Une fiction très très réaliste
Le roman dépeint les jeux d'émotions, les manigances, les étapes et le pouvoir de la manipulation, juste voir et puis c'est tout... Peut servir de mise en garde ou encore aider de jeunes abusés ou abusées à parler de leur expérience, de mauvais traitements qu'ils ont reçus de la part de leurs proches ou de personnes en qui ils ou elles avaient confiance, d'individus qui se sont hissés graduellement dans leur vie pour prendre toute la place, pour démolir leur personnalité, détruire leur personne, endommager leur cerveau, réduire à néant la beauté de leur coeur et de leur bonheur qui étaient en parfaite santé avant de se retrouver aux prises avec des personnages aux comportements aussi révoltants qu'ignobles et égocentriques.
Auteur : Michel Decèss
Éditions La Plume d'Oie
EXTRAITS
« Chaque fois, sa soeur ne le voulait pas. Elle subissait pour ne pas réveiller les autres et qu'ils se rendent compte du drame terrible qui se vivait. » (p. 36)
« Loin d'être soutenue comme elle l'aurait espéré, elle se sent humiliée. » (p. 40)
« Le même stratagème recommence. Il vaut mieux endurer ce qui se passe et ne rien dire pour l'instant. Cependant, Paul pose des gestes encore plus osés qu'il n'aurait pu l'imaginer. Ryck ne sait plus comment réagir et il lui vient même en tête de le frapper. Paul vient de poser sa main sur... » (p. 152)
« Il demeure hanté par l'histoire de Paul, il en est même angoissé. » (p. 156)
INTIMIDATION
Un roman qui se situe au début du siècle passé, au Québec, alors que l'ignorance marquait les comportements dictés par la religion catholique. Une famille vivant de la ferme, enfants nombreux avec la mère qui par un beau matin découvre son fils chevauchant son aînée, l'engrosse, etc., suivi au bout de quelques jours à se remettre de leurs émotions d'une maltraitance verbale typique de la part du curé borné se limitant à donner des leçons de morale à la jeune victime déjà abusée sexuellement et de qui c'était très certainement la faute... Puis, donné en adoption, l'enfant de l'inceste se retrouve à son tour entre les mains de religieux et surtout d'un prédateur homosexuel, tous prêts à tout pour le garder auprès d'eux. Vies difficiles, marquées par la guerre 1914-18 et surtout par le manque d'éducation dans lequel étaient maintenus les Québécois de l'époque.
Une fiction très très réaliste
Le roman dépeint les jeux d'émotions, les manigances, les étapes et le pouvoir de la manipulation, juste voir et puis c'est tout... Peut servir de mise en garde ou encore aider de jeunes abusés ou abusées à parler de leur expérience, de mauvais traitements qu'ils ont reçus de la part de leurs proches ou de personnes en qui ils ou elles avaient confiance, d'individus qui se sont hissés graduellement dans leur vie pour prendre toute la place, pour démolir leur personnalité, détruire leur personne, endommager leur cerveau, réduire à néant la beauté de leur coeur et de leur bonheur qui étaient en parfaite santé avant de se retrouver aux prises avec des personnages aux comportements aussi révoltants qu'ignobles et égocentriques.
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« Chaque fois, sa soeur ne le voulait pas. Elle subissait pour ne pas réveiller les autres et qu'ils se rendent compte du drame terrible qui se vivait. » (p. 36)
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« Le même stratagème recommence. Il vaut mieux endurer ce qui se passe et ne rien dire pour l'instant. Cependant, Paul pose des gestes encore plus osés qu'il n'aurait pu l'imaginer. Ryck ne sait plus comment réagir et il lui vient même en tête de le frapper. Paul vient de poser sa main sur... » (p. 152)
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