mardi 7 avril 2015

Avril à N-D Prairies

SAMEDI 11 AVRIL 20H00 / Église de Notre-Dame-des-Prairies

Animation Marie-Joanne Boucher

Pour public curieux et artistes en quête de défis !

Le laboratoire de création Top Chrono invite des artistes de toutes disciplines à créer une œuvre unique et inédite en seulement 24 heures autour d'un seul et même thème. Au terme de cette course contre la montre, les résultats sont dévoilés devant public.

Pour cette première édition produite par la Ville de Notre-Dame-des-Prairies, la direction artistique a été léguée à Julie Pilon, de l'organisme Empreinte Vague. Le samedi 11 avril à l'Église de Notre-Dame-des-Prairies, les spectateurs auront l'occasion de voir :

Oeuvres théâtrales des comédiennes
Élisabeth Tremblay et Valérie Descheneaux

Performances originales de
Ghyslaine Beaufort et Roxane Tessier-Ferland

Créations littéraires de
Jean-François Caron et Dominique Corneillier

Compositions musicales de
Thomas Argouin et Véronique Plasse

Productions cinématographiques de
Alexis Coté et Lysbertte Cerné

L'ambassadrice de la politique culturelle, la comédienne prairiquoise Marie-Joanne Boucher, assurera l'animation de la soirée.


Présentation du documentaire
LE NEZ

JEUDI 16 AVRIL 19h30 / Église de Notre-Dame-des-Prairies

De Kim Nguyen (2014)

Avec simplicité et poésie, Kim Nguyen porte à l’écran une réflexion sur le sens de l’odorat dans ce film inspiré par Papilles et molécules, la science aromatique des aliments et des vins, écrit par le sommelier François Chartier. Sur la base de rencontres inattendues avec des personnages d’un peu partout, qui nous livrent leur rapport à l’odeur, Nguyen nous invite à repenser notre odorat ainsi que la place centrale qu’il occupe dans notre rapport au monde.

Un remarquable hommage, sincère et intelligent, à notre sens le plus mystérieux. Notre-Dame-des-Prairies est la seule ville québécoise en-dehors de Montréal et Québec à présenter le film ce printemps.



ON VA SE FAIRE DES ENFANTS

NDLR : La violence faite aux femmes s'affiche vastement dans ces nouveaux contrats de vente du corps humain sous diverses formes. Au fur et à mesure que les hommes et les masculinistes au pouvoir bloquent systématiquement et systémiquement les femmes dans leurs motivations et efforts de carrière, elles sont obligées de se retrancher de gré ou de force et d'une manière ou d'une autre dans de tels contrats réducteurs qui diminuent, dans leur tête et dans l'opinion de la société médiatisée par les mêmes, leur valeur en tant qu'être humain intelligent et aimant à la simple production de bébés pour les fournir aux hommes pour qu'ils en aient la charge non plus seulement comme enfants de choeur mais depuis la naissance. La mère porteuse devient aussi insignifiante que l'ancienne porteuse au baptême : qui s'en souvient ? Par contre, pour elle, qui se préoccupera de sa vie par la suite, qui lui fournira un travail correctement et non pas sexistement rémunéré comme c'est encore vastement le cas, avec tous ces trous de mère porteuse dans son c.v. alors qu'en tant que femme elle n'a aucunement accès aux voies de dépassement exclusivement réservées aux utilisateurs des toilettes des hommes pour l'attribution des postes vachement payants mais tout aussi vachement au-dessus des plafonds de verre sous lesquels sont confinées les femmes et qui lui assurera une retraite humainement honnête ? Les femmes qui signent de tels contrats le font-elles vraiment de leur plein gré ??? La question se pose tout autant que lors d'autres exemples de femmes obligées de faire des bébés par le passé dans l'Histoire du monde, histoire qui partout ignore ou vole les idées et les exploits des femmes. Ceci termine le commentaire, voici la pièce programmée au sous-sol d'église catholique :

LECTURE PUBLIQUE
JEUDI 30 AVRIL 19h30 / Église de Notre-Dame-des-Prairies

Texte et mise en lecture Louis-Philippe Tremblay

Avec Sasha-Emmanuelle Migliarese, Guillaume Regaudie, Yves-Antoine Rivest

Une production du Théâtre Le Mimésis

Prêts à devenir papas envers et contre tout, David et Gabriel sont à la recherche d’une mère porteuse. Ils font alors la ren- contre de Magdalena, une jeune étudiante étrangère qui vient tout juste de perdre sa bourse d’études. En échange d’une somme de 32 000$, le couple s’entend avec la jeune femme afin qu’elle porte leur enfant.

Mais l’aventure n’est pas simple, les embûches, les fausses couches, les envies contrôlantes et les jugements de l’entourage ont tôt fait d’exacerber les instincts de chacun. David, Gabriel et Magdalena découvrent alors que la nature humaine ne se résume pas à une entente tacite. Oui, la nature humaine est bien plus complexe quand un enfant entre en jeu et surtout quand tout ne se passe pas comme prévu. http://www.unwomen.org/fr/what-we-do/ending-violence-against-women/take-action

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