avec Margie Gillis & Elizabeth Parrish
6-9 mai | Théâtre Centaur, Montréal
La plus récente création de Margie Gillis
Bulletins From Immortality...la plume libre d’Emily Dickinson
L’icône de la danse canadienne Margie Gillis et la grande actrice américaine Elizabeth Parrish s’unissent pour mettre en scène leur passion commune pour l’œuvre icônoclaste de la poétesse Emily Dickinson. Dans une mise en scène de Paola Styron et une scénographie signée par l’artiste visuel Randal Newman, Elizabeth Parrish prête vie au monde intérieur de l’auteure alors que Margie Gillis incarne sa psyché par le mouvement.
L’œuvre d’Emily Dickinson en est une d’avant-garde. Décriée, largement incomprise de son vivant, ce n’est que dans la seconde moitié du XXe siècle que la critique l’a reconnue comme une poétesse américaine majeure et qu’a été publié un premier recueil intégral et sans retouche de ses œuvres. Dès lors, on a fait l’éloge de la modernité de son propos et de l’étonnante liberté de son style unique et non conventionnel. Elle construit, avec l’écriture, un univers intérieur où il est abondamment question de mort et d’immortalité.
Deuxième collaboration entre Margie Gillis et Elizabeth Parrish, Bulletins From Immortality traduit leur passion commune pour l’œuvre de la grande poétesse. La pièce se veut une étude d’intériorisation, un abandon dans la psyché de l’auteure qui, refusant le carcan imposé aux femmes de son époque, en a fait exploser les contraintes à travers ses vers atypiques, ses rimes approximatives et sa ponctuation débridée.
6-9 mai | Théâtre Centaur, Montréal
La plus récente création de Margie Gillis
Bulletins From Immortality...la plume libre d’Emily Dickinson
L’icône de la danse canadienne Margie Gillis et la grande actrice américaine Elizabeth Parrish s’unissent pour mettre en scène leur passion commune pour l’œuvre icônoclaste de la poétesse Emily Dickinson. Dans une mise en scène de Paola Styron et une scénographie signée par l’artiste visuel Randal Newman, Elizabeth Parrish prête vie au monde intérieur de l’auteure alors que Margie Gillis incarne sa psyché par le mouvement.
L’œuvre d’Emily Dickinson en est une d’avant-garde. Décriée, largement incomprise de son vivant, ce n’est que dans la seconde moitié du XXe siècle que la critique l’a reconnue comme une poétesse américaine majeure et qu’a été publié un premier recueil intégral et sans retouche de ses œuvres. Dès lors, on a fait l’éloge de la modernité de son propos et de l’étonnante liberté de son style unique et non conventionnel. Elle construit, avec l’écriture, un univers intérieur où il est abondamment question de mort et d’immortalité.
Deuxième collaboration entre Margie Gillis et Elizabeth Parrish, Bulletins From Immortality traduit leur passion commune pour l’œuvre de la grande poétesse. La pièce se veut une étude d’intériorisation, un abandon dans la psyché de l’auteure qui, refusant le carcan imposé aux femmes de son époque, en a fait exploser les contraintes à travers ses vers atypiques, ses rimes approximatives et sa ponctuation débridée.
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