OCTOBRE 2013 à la Cinémathèque Québécoise
En octobre, la Cinémathèque québécoise se penche sur l’évolution de la technique de captation de mouvements, présente des copies tirées de ses collections alliant l’écran surdimensionné du scope à l’esthétique calibrée de l’image noir et blanc, ainsi qu’un hommage à la défunte actrice Bernadette Lafont.
Corps simulacres : Virtualisation du réel - Du 9 au 19 octobre
Décliné en cinq programmes, ce cycle survole les innovations locales (Tony de Peltrie, 1985, le jeudi 10 octobre) et internationales (Final Fantasy : The Spirit Within, 2001, le jeudi 10 octobre notamment), ainsi que le travail des innovateurs en la matière, Steven Spielberg entre autres.
Beautés du Scope noir et blanc - Du 10 au 30 octobre
Tirés de notre collection, voici quelques films alliant l’écran surdimensionné du scope à l’esthétique calibrée de l’image noir et blanc. Parmi eux, de magnifiques copies de La Passagère (1963) d’Andrzej Munk, Les Amants (1958) de Louis Malle et Les Aventures de Juan Quin Quin (1967) de Julio Garcia Espinosa. Tout cela par pur plaisir esthétique, justificatif d’une exploration surprenante autour de titres moins souvent projetés.
Au revoir Bernadette - Du 23 au 30 octobre
Bernadette Lafont, ayant ressenti tant d’affinités lors de son dernier Les Amants (1958) séjour à Montréal, avait manifesté le désir d’y retourner. Nous lui consacrions un cycle hommage qui devait avoir lieu en sa présence. Le hasard de l’existence fit qu’elle ne pourra être présente, nous ayant quittés le 25 juillet dernier. Nous avons maintenu cet hommage aux mêmes dates. De son premier film Les Mistons (1958), un court métrage tourné par un jeune François Truffaut, à son dernier long métrage Paulette (2012) de Jérome Enrico, nous parcourons en six films cette carrière illustre avec des titres où elle brille particulièrement, notamment La Maman et la Putain (1973) de Jean Eustache, Une belle fille comme moi (1972) de François Truffaut ou L’Effrontée (1985) de Claude Miller.
Cette programmation sera accompagnée d’une exposition de trente photographies de plateau, intitulée Bernadette Lafont : Portrait en métamorphoses. Du 17 octobre au 17 novembre, cette exposition revisitera les grandes étapes de la carrière cinématographique de la comédienne, qui aura à sa façon bousculé les conventions héritées du théâtre pour inventer un jeu d’acteur moderne, spontané et populaire. Au Foyer Luce-Guilbeault, entrée libre, en collaboration avec le Consulat de France.
Femmophobie.com : Hommage à Bernadette Lafont
En octobre, la Cinémathèque québécoise se penche sur l’évolution de la technique de captation de mouvements, présente des copies tirées de ses collections alliant l’écran surdimensionné du scope à l’esthétique calibrée de l’image noir et blanc, ainsi qu’un hommage à la défunte actrice Bernadette Lafont.
Corps simulacres : Virtualisation du réel - Du 9 au 19 octobre
Décliné en cinq programmes, ce cycle survole les innovations locales (Tony de Peltrie, 1985, le jeudi 10 octobre) et internationales (Final Fantasy : The Spirit Within, 2001, le jeudi 10 octobre notamment), ainsi que le travail des innovateurs en la matière, Steven Spielberg entre autres.
Beautés du Scope noir et blanc - Du 10 au 30 octobre
Tirés de notre collection, voici quelques films alliant l’écran surdimensionné du scope à l’esthétique calibrée de l’image noir et blanc. Parmi eux, de magnifiques copies de La Passagère (1963) d’Andrzej Munk, Les Amants (1958) de Louis Malle et Les Aventures de Juan Quin Quin (1967) de Julio Garcia Espinosa. Tout cela par pur plaisir esthétique, justificatif d’une exploration surprenante autour de titres moins souvent projetés.
Au revoir Bernadette - Du 23 au 30 octobre
Bernadette Lafont, ayant ressenti tant d’affinités lors de son dernier Les Amants (1958) séjour à Montréal, avait manifesté le désir d’y retourner. Nous lui consacrions un cycle hommage qui devait avoir lieu en sa présence. Le hasard de l’existence fit qu’elle ne pourra être présente, nous ayant quittés le 25 juillet dernier. Nous avons maintenu cet hommage aux mêmes dates. De son premier film Les Mistons (1958), un court métrage tourné par un jeune François Truffaut, à son dernier long métrage Paulette (2012) de Jérome Enrico, nous parcourons en six films cette carrière illustre avec des titres où elle brille particulièrement, notamment La Maman et la Putain (1973) de Jean Eustache, Une belle fille comme moi (1972) de François Truffaut ou L’Effrontée (1985) de Claude Miller.
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