Ariel, un film de Laura Bari
En salle dès le 28 mars
Portrait intime et métaphorique d¹un homme qui se reconstruit après un terrible accident
Ariel, une production de Parabola Films (Sarah Spring et Selin Murat), en coproduction avec l’Office national du film du Canada (Nathalie Cloutier) et en association avec Beso Film (Laura Bari), présente dix ans dans la vie d’un homme après la perte de ses deux jambes dans un terrible accident de travail. Dix années durant lesquelles il cherchera à se reconstruire, en se lançant dans une entreprise à la fois exaltante et surhumaine : la création de ses propres prothèses. Un chemin parsemé d’embûches, où il cherchera à dépasser sa condition humaine et sa condition physique.
Ariel
Réalisation, scénario, images et montage : Laura Bari
Musique : Florencia Di Concilio
Le précédent film de Laura Bari, Antoine (2009), mettait en scène un écolier aveugle de 5 ans devenu détective et collectionneur de sons. La cinéaste renoue avec un cinéma introspectif qui sonde les méandres de l’esprit humain.
Le regard unique de Laura Bari révèle une nouvelle fois le pouvoir de l'imagination et élargit les limites entre le réel et l'imaginaire. Elle coordonne cinématographiquement les personnalités d’Ariel en l’invitant à parcourir la génétique de ses souvenirs. Par des mises en scène hypothétiques et imaginaires, des installations, des sculptures, de la danse, Ariel retrouve les éléments de ses récits et les lieux de son passé. Il réorganise ainsi ses rêves, ses désirs, ses peurs, ses souvenirs et son présent. C'est alors qu’il mobilise ses canaux affectifs et débloque sa pensée créative pour faire aboutir des idées neuves. La cinéaste persiste dans son originalité et rompt l’équilibre habituel du son réel, en créant un univers sonore illogique et éphémère – qui constitue un des fils narratifs du film –, en collaboration avec la réputée compositrice Florencia Di Concilio (ayant notamment signé la musique du film L’homme de chevet d’Alain Monne, avec Sophie Marceau et Christophe Lambert), qui a travaillé à partir de poèmes de la cinéaste.
En salle dès le 28 mars
Portrait intime et métaphorique d¹un homme qui se reconstruit après un terrible accident
Ariel, une production de Parabola Films (Sarah Spring et Selin Murat), en coproduction avec l’Office national du film du Canada (Nathalie Cloutier) et en association avec Beso Film (Laura Bari), présente dix ans dans la vie d’un homme après la perte de ses deux jambes dans un terrible accident de travail. Dix années durant lesquelles il cherchera à se reconstruire, en se lançant dans une entreprise à la fois exaltante et surhumaine : la création de ses propres prothèses. Un chemin parsemé d’embûches, où il cherchera à dépasser sa condition humaine et sa condition physique.
Ariel
Réalisation, scénario, images et montage : Laura Bari
Musique : Florencia Di Concilio
Le précédent film de Laura Bari, Antoine (2009), mettait en scène un écolier aveugle de 5 ans devenu détective et collectionneur de sons. La cinéaste renoue avec un cinéma introspectif qui sonde les méandres de l’esprit humain.
Le regard unique de Laura Bari révèle une nouvelle fois le pouvoir de l'imagination et élargit les limites entre le réel et l'imaginaire. Elle coordonne cinématographiquement les personnalités d’Ariel en l’invitant à parcourir la génétique de ses souvenirs. Par des mises en scène hypothétiques et imaginaires, des installations, des sculptures, de la danse, Ariel retrouve les éléments de ses récits et les lieux de son passé. Il réorganise ainsi ses rêves, ses désirs, ses peurs, ses souvenirs et son présent. C'est alors qu’il mobilise ses canaux affectifs et débloque sa pensée créative pour faire aboutir des idées neuves. La cinéaste persiste dans son originalité et rompt l’équilibre habituel du son réel, en créant un univers sonore illogique et éphémère – qui constitue un des fils narratifs du film –, en collaboration avec la réputée compositrice Florencia Di Concilio (ayant notamment signé la musique du film L’homme de chevet d’Alain Monne, avec Sophie Marceau et Christophe Lambert), qui a travaillé à partir de poèmes de la cinéaste.
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