Chorégraphe : Jean-Sébastien Lourdais
Artistes-interprètes : Sophie Corriveau, Frédéric Gagnon, Caroline Gravel, Catherine Lalonde, Linda Rabin, Catherine Tardif, Anne Thériault
Le chorégraphe Jean-Sébastien Lourdais exerce une fascination par son approche originale du corps comme territoire qu’il faut scruter. Aussi étrange que cela paraisse, milieu de nulle part est un lieu bien précis. C’est cet entre-deux où nous ne sommes plus tout à fait quelque chose et pas encore autre chose, un lieu « entre ». Pour incarner cette urgence de quitter un état et le besoin d’aller vers un autre, sept interprètes se succèdent dans sept solos liés par la griffe du chorégraphe. Par une danse envoûtante, hypnotique, le corps se fait sculptural, fluide. Dans une troublante interprétation, les états de corps et les états de grâce se suivent, jamais similaires, mais, agités d’une même énergie, se complètent. Différentes générations de danseurs se retrouvent ici dans une même tension, un même souci du détail, un même abandon. La musique enveloppante de Ludovic Gayer, se fait écrin pour ces petits bijoux dansés et participe à l’éveil des sens. Jean-Sébastien Lourdais fait le choix d’une grande proximité avec le spectateur, l’incluant dans ce travail de l’intime, l’immergeant dans sa quête des belles choses.
À l'Agora de la danse, les 19, 20 et 21 mars à 20 h.
Artistes-interprètes : Sophie Corriveau, Frédéric Gagnon, Caroline Gravel, Catherine Lalonde, Linda Rabin, Catherine Tardif, Anne Thériault
Le chorégraphe Jean-Sébastien Lourdais exerce une fascination par son approche originale du corps comme territoire qu’il faut scruter. Aussi étrange que cela paraisse, milieu de nulle part est un lieu bien précis. C’est cet entre-deux où nous ne sommes plus tout à fait quelque chose et pas encore autre chose, un lieu « entre ». Pour incarner cette urgence de quitter un état et le besoin d’aller vers un autre, sept interprètes se succèdent dans sept solos liés par la griffe du chorégraphe. Par une danse envoûtante, hypnotique, le corps se fait sculptural, fluide. Dans une troublante interprétation, les états de corps et les états de grâce se suivent, jamais similaires, mais, agités d’une même énergie, se complètent. Différentes générations de danseurs se retrouvent ici dans une même tension, un même souci du détail, un même abandon. La musique enveloppante de Ludovic Gayer, se fait écrin pour ces petits bijoux dansés et participe à l’éveil des sens. Jean-Sébastien Lourdais fait le choix d’une grande proximité avec le spectateur, l’incluant dans ce travail de l’intime, l’immergeant dans sa quête des belles choses.
À l'Agora de la danse, les 19, 20 et 21 mars à 20 h.
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