Hier soir, le fabuleux guitariste et chanteur touareg BOMBINO du Niger était à Montréal, réinvité après un passage plus que remarqué lors du Festival par les Productions Nuits d'Afrique.
Vraiment sa musique est un son à lui, réunissant les rythmes touaregs auxquels il ajoute des rythmes et des amplitudes rock poussées... plus il ne manque pas de se déhancher sur scène, de danser, de s'approcher de la foule...
La guitare de Hendrix et la voix de Cat
En début de concert, ils sont deux à remplir la salle de leur musique ; les chansons sont douces et sa voix en tonalité basse rappellent quelque peu la voix grave que prenait parfois, à l'époque, Cat Stevens (par exemple dans Miles from Nowhere). C'est très beau comme musique, même si on ne comprend pas les paroles, sauf quand il parle en français entre les morceaux qui sont d'une durée plus longue que ce à quoi nous avons l'habitude. Un troisième, puis un 4e musicien s'ajoutent au fur et à mesure pour faire danser le public et ajouter leur à un son déjà très fort. En tant que guitariste, il est vraiment très fort aussi, ayant même été comparé à Hendrix.
Pendant toute la durée du spectacles, les gens ont continué à arriver, remplissant la salle de concert et surtout la piste de danse qui a été occupée par des danseurs dès le tout premier morceau.
Vraiment un artiste exceptionnel, compte tenu des difficultés vécues dans son pays qui ont sûrement mis un frein temporaire à une carrière qui devrait maintenant prendre son envol. Vivement Bombino de retour à Montréal !
La cabane à sucre à saveur Arabica
En première partie, c'est le groupe montréalais SYNCOP qui a réchauffé la salle avec les pièces de son CD Sirocco d'érable, rassemblant des sont maghrébins, des airs adoptés par Enrico Macias et des paroles québécoises. C'est sa chanson sur l'homme de 70 ans quittant son village pour la première fois, turban sur la tête pour venir s'occuper convenablement d'une jeune femme vivant au Québec qui a stimuler les gens à se lever pour danser sur cette histoire. Toujours aussi festifs ce sympathique Karim de Syncop qui a appris à dire «moé» et qui chante accompagné de ses musiciens qui sont aussi un métissage car, de visu, on ne semble pas voir souvent de femme jouant de la flûte traversière dans la musique traditionnelle de son pays ; mais peut-être que je me trompe... Une idée géniale, en tout cas, surtout en plus de rassembler des musiciens d'origines aussi diverses !
SYNCOP
http://montreal157.blogspot.com/2011/11/videos-de-cat-stevens.html
Vraiment sa musique est un son à lui, réunissant les rythmes touaregs auxquels il ajoute des rythmes et des amplitudes rock poussées... plus il ne manque pas de se déhancher sur scène, de danser, de s'approcher de la foule...
La guitare de Hendrix et la voix de Cat
En début de concert, ils sont deux à remplir la salle de leur musique ; les chansons sont douces et sa voix en tonalité basse rappellent quelque peu la voix grave que prenait parfois, à l'époque, Cat Stevens (par exemple dans Miles from Nowhere). C'est très beau comme musique, même si on ne comprend pas les paroles, sauf quand il parle en français entre les morceaux qui sont d'une durée plus longue que ce à quoi nous avons l'habitude. Un troisième, puis un 4e musicien s'ajoutent au fur et à mesure pour faire danser le public et ajouter leur à un son déjà très fort. En tant que guitariste, il est vraiment très fort aussi, ayant même été comparé à Hendrix.
Pendant toute la durée du spectacles, les gens ont continué à arriver, remplissant la salle de concert et surtout la piste de danse qui a été occupée par des danseurs dès le tout premier morceau.
Vraiment un artiste exceptionnel, compte tenu des difficultés vécues dans son pays qui ont sûrement mis un frein temporaire à une carrière qui devrait maintenant prendre son envol. Vivement Bombino de retour à Montréal !
La cabane à sucre à saveur Arabica
En première partie, c'est le groupe montréalais SYNCOP qui a réchauffé la salle avec les pièces de son CD Sirocco d'érable, rassemblant des sont maghrébins, des airs adoptés par Enrico Macias et des paroles québécoises. C'est sa chanson sur l'homme de 70 ans quittant son village pour la première fois, turban sur la tête pour venir s'occuper convenablement d'une jeune femme vivant au Québec qui a stimuler les gens à se lever pour danser sur cette histoire. Toujours aussi festifs ce sympathique Karim de Syncop qui a appris à dire «moé» et qui chante accompagné de ses musiciens qui sont aussi un métissage car, de visu, on ne semble pas voir souvent de femme jouant de la flûte traversière dans la musique traditionnelle de son pays ; mais peut-être que je me trompe... Une idée géniale, en tout cas, surtout en plus de rassembler des musiciens d'origines aussi diverses !
SYNCOP
http://montreal157.blogspot.com/2011/11/videos-de-cat-stevens.html
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