Une création d'Amélie Dallaire et Olivier Morin
Avec Ève Duranceau, Karine Gonthier-Hyndman, Julien Storini, Amélie Dallaire et Olivier Morin
Du 26 janvier au 13 février 2016 à la salle Jean-Claude-Germain du Centre du Théâtre d’Aujourd’hui
Queue DE cerise?
Non, Queue Cerise. Ce n’est pas une coquille.
C’est bel et bien Queue Cerise et non Queue de cerise.
Queue. Cerise. Deux mots que l’inconscient peut choisir d’associer à sa guise….
Queue Cerise raconte l’étrange histoire de Michelle, une jeune femme qui commence un nouvel emploi auquel elle ne comprend rien du tout. D’ailleurs, personne parmi ses nouveaux collègues ne semble disposé à intervenir pour lui venir en aide. Michelle développe une relation secrète avec le sous-sol du bureau, un espace envoûtant duquel on lui avait pourtant dit de se méfier et qui déclenche une métamorphose de son corps mais aussi du monde qui l’entoure.
« J’ai voulu que Queue Cerise soit imprégné de l’impression que me laisse souvent la vie, hasardeuse et improbable, mais à la fois organisée dans un mystérieux chaos…»
Amélie Dallaire
Queue Cerise ouvre la porte des sensations refoulées où les spectres sexuels de notre subconscient circulent entre les cuisses et entre les mots. C’est une mosaïque insolite en perpétuel aller-retour entre le conscient et l’inconscient, le rêve et le réel, le banal et le surnaturel.
« Aujourd’hui, en observant ma collègue manger son lunch, j’ai remarqué qu’elle me dégoûtait. Elle fait des bruits de bouche et n’a aucune conscience que je l’observe. J’aime ressentir cette répulsion. J’aime la regarder être dégoûtante.»
Extrait de Queue Cerise
Quelque part entre l’humour absurde de la pièce Les Voisins et l’étrangeté de David Lynch. C’est souvent très drôle et parfois inquiétant, à la fois absurde et étrangement familier.
Avec Ève Duranceau, Karine Gonthier-Hyndman, Julien Storini, Amélie Dallaire et Olivier Morin
Du 26 janvier au 13 février 2016 à la salle Jean-Claude-Germain du Centre du Théâtre d’Aujourd’hui
Queue DE cerise?
Non, Queue Cerise. Ce n’est pas une coquille.
C’est bel et bien Queue Cerise et non Queue de cerise.
Queue. Cerise. Deux mots que l’inconscient peut choisir d’associer à sa guise….
Queue Cerise raconte l’étrange histoire de Michelle, une jeune femme qui commence un nouvel emploi auquel elle ne comprend rien du tout. D’ailleurs, personne parmi ses nouveaux collègues ne semble disposé à intervenir pour lui venir en aide. Michelle développe une relation secrète avec le sous-sol du bureau, un espace envoûtant duquel on lui avait pourtant dit de se méfier et qui déclenche une métamorphose de son corps mais aussi du monde qui l’entoure.
« J’ai voulu que Queue Cerise soit imprégné de l’impression que me laisse souvent la vie, hasardeuse et improbable, mais à la fois organisée dans un mystérieux chaos…»
Amélie Dallaire
Queue Cerise ouvre la porte des sensations refoulées où les spectres sexuels de notre subconscient circulent entre les cuisses et entre les mots. C’est une mosaïque insolite en perpétuel aller-retour entre le conscient et l’inconscient, le rêve et le réel, le banal et le surnaturel.
« Aujourd’hui, en observant ma collègue manger son lunch, j’ai remarqué qu’elle me dégoûtait. Elle fait des bruits de bouche et n’a aucune conscience que je l’observe. J’aime ressentir cette répulsion. J’aime la regarder être dégoûtante.»
Extrait de Queue Cerise
Quelque part entre l’humour absurde de la pièce Les Voisins et l’étrangeté de David Lynch. C’est souvent très drôle et parfois inquiétant, à la fois absurde et étrangement familier.
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