Un récit qui met en lumière les traces immuables
que laissent les autres dans notre vie !
Le Théâtre Bluff, qui célèbre cette année son 25e anniversaire, amorce au Théâtre Denise-Pelletier une résidence qui s’échelonnera jusqu’en 2018 en y lançant une nouvelle création : Les Haut-Parleurs présentée à la Salle Fred-Barry du 3 au 21 novembre 2015. Très actif et toujours sensible et percutant, le jeune auteur, metteur en scène et comédien Sébastien David plonge, après T’es où Gaudreault précédé de Ta yeule Kathleen et Les Morb(y)des, dans une œuvre sur les possibles blessures de l’adolescence.
Les Haut-Parleurs parle de transmission, d’art, d’amitié, d’amour et de bien d’autres choses qui sont fragiles. « J’ai voulu parler au public de ce tout qui peut casser, pour qu’ils réalisent mieux que si tout ne peut pas se reconstruire, tout peut se ramasser », a mentionné Sébastien David. On assiste à la naissance simultanée de deux amitiés totalement différentes; l’une mixte entre deux personnes du même âge et l’autre entre deux personnes de générations différentes. Il y a alors transmission de savoirs, mais également transmission de doutes à travers l’art et ses différentes formes.
La pièce : L’été s’annonce long et ennuyant pour le Fils, nouvellement arrivé dans une ville que tout le monde a quittée pour les vacances. Tout le monde sauf le Voisin, un homme solitaire dans la soixantaine, compositeur d’étranges musiques, et Greta, une adolescente au caractère explosif. Dans cette petite ville dominée par son immense cathédrale et ses cloches au son massif, le Fils comprend peu à peu que toutes les amitiés ne sont pas compatibles et que les vérités humaines sont parfois insaisissables.
Le Théâtre Bluff, qui célèbre cette année son 25e anniversaire, amorce au Théâtre Denise-Pelletier une résidence qui s’échelonnera jusqu’en 2018 en y lançant une nouvelle création : Les Haut-Parleurs présentée à la Salle Fred-Barry du 3 au 21 novembre 2015. Très actif et toujours sensible et percutant, le jeune auteur, metteur en scène et comédien Sébastien David plonge, après T’es où Gaudreault précédé de Ta yeule Kathleen et Les Morb(y)des, dans une œuvre sur les possibles blessures de l’adolescence.
Les Haut-Parleurs parle de transmission, d’art, d’amitié, d’amour et de bien d’autres choses qui sont fragiles. « J’ai voulu parler au public de ce tout qui peut casser, pour qu’ils réalisent mieux que si tout ne peut pas se reconstruire, tout peut se ramasser », a mentionné Sébastien David. On assiste à la naissance simultanée de deux amitiés totalement différentes; l’une mixte entre deux personnes du même âge et l’autre entre deux personnes de générations différentes. Il y a alors transmission de savoirs, mais également transmission de doutes à travers l’art et ses différentes formes.
La pièce : L’été s’annonce long et ennuyant pour le Fils, nouvellement arrivé dans une ville que tout le monde a quittée pour les vacances. Tout le monde sauf le Voisin, un homme solitaire dans la soixantaine, compositeur d’étranges musiques, et Greta, une adolescente au caractère explosif. Dans cette petite ville dominée par son immense cathédrale et ses cloches au son massif, le Fils comprend peu à peu que toutes les amitiés ne sont pas compatibles et que les vérités humaines sont parfois insaisissables.
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