-
CONCERT D’OUVERTURE officielle :
Zebda
(Maghreb / France), au Métropolis - Avec le méga tube
Tomber la
chemise, le groupe a raflé tous les prix. Sur son dernier album, Comme des
Cherokees (2014), Zebda défend la diversité et les accents régionaux. Joyeux et
engagé!
-
Le Grand Méchant Zouk (Martinique et Guadeloupe) Avec
Kassav’, Luc Leandry, Princess lover, Jean-Marc Ferdinand et
invités au Métropolis - Rendez-vous culte en France, ce spectacle célèbre le
meilleur de ce rythme ensoleillé, dans une ambiance fiévreuse. Pour la première
fois à Montréal !
-
Ondatròpica (Colombie), au Théâtre Fairmount - «
Cocktail de rythmes colombiens, de ska et de reggae », la version live réunie
autour de
Will Holland (Quantic) et de
Mario
Geleano, fait la part belle aux traditionnelles cumbia, porro, et
currulao. « Joyeux, explosif, foisonnant, surprenant ».
-
Famalé avec
Zal Sissokho,
Marcus Viana et
Sergio Pererê (Brésil –
Sénégal / Québec), au Théâtre Fairmount - Deux grands noms de la culture
brésilienne, Marcus Viana et Sergio Pererê, arriment avec classe les cordes de
leur violon et charango à la kora de Zal Sissokho, pour écrire un dialogue franc
entre les rythmes de l’Afrique subsaharienne, la samba, le blues, le reggae et
le jazz.
-
Paulo Flores (Angola), au Théâtre Fairmount - Depuis
plus de 25 ans, Paulo Flores capte l’essence de Luanda, la raconte avec poésie
et sincérité, dans une samba influencée de fado, de jazz, de funk, de rythmes
antillais ou brésiliens.
La série « PRESTIGE
»
S’y vivent des moments
magiques, imprégnés d’élégance et de charge émotive ;
des moments où le public communie littéralement avec les
artistes.
-
Black Umfolosi (Zimbabwe) - Leurs a cappella
captivants résonnent comme autant de messages d’espoir et de paix. S’y substitue
un gumboot exalté laissant s’échapper la mémoire du peuple zoulou. Profond et
authentique.
-
La Nuit de la kora avec
Djeli Mori Tounkara
(Mali / Québec) et
Djeli Moussa Diawara (Guinée) Aucun
son ne révèle davantage l’âme de l’Afrique de l’Ouest que celui de la
majestueuse et envoûtante kora, tout autant accompagnatrice de traditions que
catalyseur de création. D'abord, Djeli Mori Tounkara, puis Djeli Moussa Diawara,
fondateur du fameux
Kora Jazz Trio, survolent respectivement
les 21 et 32 cordes (unique !) de leur kora. Un univers de possibilités
musicales…
La série « RÉVÉLATIONS »
C’est le tremplin nord-américain par excellence pour des
artistes des plus prometteurs qui se sont démarqués chacun à
leur façon.
-
Marema (Sénégal), au Théâtre Fairmount - La lauréate
des
Prix Découvertes RFI 2014, flanquée de sa guitare, impose
une pop légère et pétillante, imprégnée juste ce qu’il faut de rythmes et sons
du pays de la Teranga.
-
Bongeziwe Mabandla (Afrique du sud), au Club Balattou
- Sa voix tendance soul souligne efficacement des mélodies mélancoliques
délicatement infléchies d’accents hip-hop. Un folk qui redéfinit les rythmes
traditionnels sans les dénaturer.
-
Sousou et Maher Cissoko (Suède / Sénégal), au Club
Balattou - Jumelant habilement kora et guitare, répertoire traditionnel
mandingue, leur complicité évidente transcende les cultures pour n’être que
rendez-vous d’émotions et de sens.
-
Awa Sangho (Mali), au Club Balattou - De sa voix
éclatante,
l’ex- Go de Koteba propose une incursion avenante
dans les traditions ouest-africaines, bâtie sur un équilibre délicat entre sons
acoustiques et électriques.
-
Maya Kamaty (Île de la Réunion), au Club Balattou -
Simplicité des sons traditionnels et reliefs de l’aura créole : Maya magnifie le
Maloya, chant des esclaves longtemps interdit, désormais inscrit au Patrimoine
culturel immatériel de l’UNESCO.
Parce que le Festival
International Nuits d’Afrique a aussi pour mandat de déconstruire les mythes
associés à ce lointain continent, la série « URBAN AFRICA »
montre à quel point sa jeunesse est à la fois moderne et
inspirée.
-
Patrice (Sierra Leone / Allemagne), au National -
Entre l’Afrique et l’Europe, au confluent du reggae, du folk et du hip-hop, il y
a le sweggae de Patrice. Comme dans swag, hype, stylé, quoi ! Une quête
d’identité carrément décomplexée !
-
Vox Sambou (Haïti / Québec), au Théâtre Fairmount -
Mixant en un rap militant des rythmes traditionnels, latins, afro ou reggae, et
membre fondateur du collectif NOMADIC MASSIVE, il conjugue sans complexe son
identité haïtienne, son ascendance africaine et son appartenance montréalaise.
-
Akawui (Chili / Québec), au Club Balattou -
Combinant, dans leur africanité, les rythmes chiliens, cubains et brésiliens
avec l’envoûtante musique des Andes et les musiques urbaines, le lauréat du Syli
d’Or de la musique du monde 2015 fait un tour des Amériques à la cadence de ses
sons.
Les musiques du monde sont source de création infinie pour
les artistes de l’électro. La série « NUITS D'AFRIQUE SOUND
SYSTEM » présentée à la Sala Rossa, est la plaque tournante
montréalaise de ce qu’il convient de nommer la world
2.0.
10 juillet à la Sala Rossa
-
DJ Greg de Villanova (Brésil / France) et
Andy Williams (Québec) - Mix de funk, de rythmes latinos,
brésiliens, tropicaux, lounge : Greg de Villanova est un globe-trotter des
platines. Basé à Montréal, Andy Williams a bâti sa légende de deejay au gré de
pérégrinations culturelles multiples.
17 juillet à la Sala Rossa
-
Samito (Mozambique / Québec) - Artiste afroélectro
trippant, Samito brouille les paradigmes acoustique/électronique,
nouveau/ancien, nostalgie/critique politique. « Le prochain élu » du Montréal de
la world 2.0.
Révélation Monde de Radio-Canada
2015/2016.
-
Black Out Sound System sur la scène dub et reggae montréalaise depuis 8 ans
Montréal regorge d’artistes talentueux qui
font honneur à leurs racines tout en valorisant le métissage des
cultures. La série « RYTHMES D'AILLEURS, GENS D'ICI »,
l’une des raisons d’être du festival, est leur lieu d’expression
privilégié.
-
H’Sao (Tchad / Québec), au Théâtre Fairmount -
Gospel, soul, jazz, R&B, musiques traditionnelles africaines : les genres se
combinent en toute évidence, sous l’impulsion de voix pénétrantes transformant
chaque son en pure émotion.
-
Marocouleurs (Maroc / Québec), au Club Balattou -
Guembri, kerkabou, derbouka… Avec ses instruments envoûtants, le groupe sert les
rythmes hypnotiques des différentes régions du Maroc, déclenchant les youyous
fiévreux des femmes.
-
Veeby (Cameroun / Québec), au Club Balattou -
Intensément soul, aux intonations R&B et hip-hop, sa musique, engagée et
appuyée par « une voix souple, puissante et intime », puise de manière flagrante
à même la source africaine.
-
Rendez-vous mandingue avec Adama Daou (Mali /
Québec), au Club Balattou - Résonnant dans des calebasses, les lames de bois de
son balafon font écho à l’histoire fabuleuse de tout un peuple. Doum doum,
djembé, guitare mandingue et danses complètent le
programme.
LES ÉTOILES NUITS D'AFRIQUE :
LE RENDEZ-VOUS DES CONCERTS NOCTURNES, dès 23h au Club
Balattou : C’est la cerise sur le gâteau ! Des spectacles inédits, des
rencontres exclusives, des « jams » entre artistes, un métissage de culture :
l’incarnation de l’esprit Nuits d’Afrique. Ces concerts sont gratuits pour
tous les festivaliers détenteurs d’un billet pour l’un des spectacles Nuits
d’Afrique.
-
Oktopus (Europe de l’est / Québec)
Syli d’or
2014 - Euphorie, mélancolie, pour les
trois concerts de ces Étoiles des Nuits d’Afrique, ouvre à ses compagnons de route son univers
éclatant, émanant de la culture Klezmer. Avec
Paul Kunigis
(Pologne / Québec). Avec
Henri Oppenheim (France /
Québec). Jam avec Charles-André Labelle-Giroux (tuba), Gabrièle Dostie-Poirier
(basson), Arnaux Allary (saxophone), Nedjma Achour (voix).
-
Los Viejha (Mexique / Québec)
Syli d’Argent
2015 - La bamba appartient au répertoire du Son Jarocho, rythme marqué
par des influences africaines et espagnoles. Au son de la jarana, guitare
baroque traditionnelle, Los Viejha convie pour
trois soirées
ses invités à attiser le feu de la danse. Avec
Stéphanie
Osorio (Colombie / Montréal). Avec
Los Viejha &
friends.
-
SOIRÉE DE CLÔTURE Los Viejha et Mikhaëlle Salazar
(Mexique /
Québec).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire